Depuis 2017, notre entreprise s’est engagée à permettre 3 jours par semaine de télétravail à ses employé.e.s. Cette option, en plus de permettre à ceux et celles résidant plus loin d’éviter le trajet, les désagréments de la circulation ou les tempêtes de neige, favorise aussi la collaboration entre collègues.
Oui oui, il est bien plausible de soutenir une telle affirmation.
Dans un premier temps, si on louangeait les bureaux à aires ouvertes il y a quelque temps comme la meilleure méthode de travail en entreprise, une amie a porté à l’attention de mon père une récente étude de l’Université Harvard qui réfutait la chose. Celle-ci stipulait que les bureaux à aires ouvertes ont un impact contraire à la raison de leur conception, c’est-à-dire qu’ils font entrave à la productivité au lieu d’y contribuer. En effet, travailler en constante collectivité diminuerait la concentration et la motivation, soit par un grand nombre de distractions sonores, de conflits, de pression et de compétition entre employé.e.s, pour ne nommer que quelques facteurs.
Le télétravail, bien qu’il peut paraître comme une méthode de travail qui encourage l’isolement au détriment de la sociabilité, serait toutefois une solution plus avantageuse. Les travailleurs et travailleuses, au moyen d’outils comme Cisco Webex, peuvent aisément se contacter entre eux, faire des vidéoconférences dont la qualité est sans cesse renouvelée, et atteindre cette productivité recherchée… dans le calme de leur foyer.
S’il y avait quelque chose à refaire dans la configuration de nos bureaux à Beloeil, qui sont eux-mêmes à aires ouvertes, nous aurions réduit la salle de conférence, au profit de petits cubicules bien utiles pour les appels, les rencontres ou les projets exigeant une concentration plus pointue. Le tout, bien sûr, en équipant ces salles de solutions de collaboration Cisco.